giovedì 6 febbraio 2020
A sostegno di Vasco Gargalo
Satire and freedom of expression abused again Miguel Villalba Sánchez (Elchicotriste)
This is becoming unbearable. We should start protesting against sionist fascism before is too late for freedom of expression. Ça devient trop. On devrait faire quelquechose pour se manifester contre le fascisme sioniste avant que ça soit trop tard pour la liberté d'expression. Some colleagues have been brutally accused of antisemitism for using metaphores (Cartooning tool) disliked by israeli government. First Antunez in NY Times, now Gargalo, Who's next?
... e sì, non mi interessano i premi, i festival, i boicottaggi o la censura ... è sottostanziale per proteggere la nostra professione ed è necessario alzare la voce per combattere per la libertà di espressione e contro ogni tipo di minaccia politica o ricatto professionale. Se stiamo zitti mentre vediamo i nostri colleghi attaccati, condannati all'ostracismo e allo stigma per aver osato trattare determinati argomenti, allora facciamo parte del problema e non rispettiamo abbastanza la nostra professione. Molti di noi ora Antunes o Gargalo o chiunque sarà il prossimo, sappiamo che accusare perfettamente quei professionisti dell'antisemitismo è pura diffamazione nel tentativo di mettere a tacere qualsiasi prospettiva legittima di alcuni argomenti che vogliono essere imposti come un tabù, in questo caso il genocidio in corso in Palestina. Non dimenticare mai, il sionismo non è semitismo. Dixit. Questo è un segno di solidarietà per il mio collega Vasco Gargalo . Non sei solo.
Elchicotriste
by DNA
Dessins antisémites : la Ville de Strasbourg et Courrier international retirent son prix à Gargalo
La Ville de Strasbourg et l’hebdomadaire Courrier international ont « fermement » condamné les dessins antisémites du dessinateur portugais Vasco Gargalo, qui avait reçu le prix du public de « Plumes libres pour la démocratie », lors du Forum mondial de la démocratie, en novembre dernier à Strasbourg. La Ville et l’hebdomadaire indiquent qu’ils « viennent de découvrir » ces dessins, « et notamment celui caricaturant Benyamin Netanyahou "enterrant" les Palestiniens dans un four crématoire, surmonté de la sinistre inscription d’Auschwitz "Arbeit macht frei"».
Ils condamnent un « amalgame odieux consistant à utiliser la représentation de la Shoah pour illustrer la politique du gouvernement israélien ». « Il va sans dire que si [nous avions] eu connaissance [de ces] productions antisémites, aucun de ces dessins n’aurait fait l’objet d’une publication ou d’une participation à un prix », souligne le communiqué commun. En conséquence, par fidélité « aux valeurs des droits de l’homme et de la démocratie », la Ville de Strasbourg et Courrier International « considèrent aujourd’hui que Vasco Gargalo ne mérite plus de se prévaloir d’un Prix qui promeut ces mêmes valeurs, qu’il a transgressées ».
Vasco Gargalo est un caricaturiste régulièrement publié dans des journaux européens. Il a reçu son prix à Strasbourg un dessin rendant hommage à Marielle Franco, élue brésilienne engagée contre le racisme, l’homophobie et les violences policières, assassinée en mars 2018.
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